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Afin de réduire au maximum l’expansion du virus sur l’ensemble du territoire français, le gouvernement a mis en place un certain nombre de mesures. Au départ, plusieurs interrogations été posées concernant la lutte contre le virus. Parmi ces questions, celle du licenciement des salariés refusant la vaccination obligatoire s’est très vite posée. Ainsi, des dispositions ont été prises afin de résoudre le problème, par exemple pour les travailleurs des secteurs de la restauration, des bars, des cinémas ne présentant pas leur pass sanitaire à compter du 15 septembre 2021, ces derniers seront suspendus de leur fonction. En effet, le gouvernement cherche à encourager au maximum la vaccination des français. L’objectif est d’éviter une nouvelle fermeture des restaurants, des bars, des musées et des cinémas. Dans le cas où un employé ne peut pas présenter son pass sanitaire, une suspension est prévue afin de sécuriser son lieu de travail.
De plus, Elisabeth Borne la Ministre du Travail a prévenu le dimanche 8 août que si un professionnel soumis au vaccin obligatoire ne respectait pas cette règle, il encourt une suspension et sera dans l’incapacité de toucher son salaire ou de percevoir des allocations chômage.
En tant que professionnel, il est donc fortement recommandé d’effectuer la vaccination obligatoire afin d’être en mesure de présenter le pass sanitaire. Par ailleurs, le gouvernement a promis de tout mettre en place afin que les français accèdent rapidement à la vaccination.
Pour rappel, le 30 août 2021, le pass sanitaire deviendra obligatoire pour tous les salariés travaillant dans des lieux qui l’oblige. En cas de non-respect de la règle, les salariés pourraient voir leur contrat de travail suspendu sans rémunération.
Il est important de rappeler que le vaccin est gratuit pour tous les français. Ainsi son coût n’est pas supporté par les entreprises ou par les salariés couverts par une mutuelle santé collective. Si l’employeur ne respecte pas le contrôle de l’obligation vaccinale de ses salariés, il encourt une amende de 1.500 euros. Cette dernière peut grimper jusqu’à 9.000 euros si la récidive est signalée trois fois de suite.