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Selon l’INSEE, la France compte plus de 3 millions d'indépendants et de professions libérales, soit plus de 10% des actifs. Problème seulement 1 TNS sur 2 est équipé d’un contrat de prévoyance.
Les régimes obligatoires des indépendants sont multiples, peu connus et ils protègent mal. Cela pose un problème pour le TNS mais aussi pour leur famille et la pérennité de l'entreprise. Malheureusement, on constate que les travailleurs non-salariés n’ont pas conscience des difficultés que cela peut engendrer. Seulement 34% des non-salariés connaissent leurs indemnités journalières en cas d'arrêt de travail. En cas d'invalidité le chiffre tombe à 17%, et à 21% en cas de décès.
1 travailleur non salarié sur 2 est équipé d’un contrat de prévoyance. C’est un problème culturel ! En France, les travailleurs non-salariés s’assurent pour leurs indemnités journalières avec une enveloppe Madelin, alors que les vrais risques sont l’invalidité et le décès.
La prévoyance va prévoir la pérennité de l’entreprise en cas de disparation du dirigeant ou un collaborateur clé. En cas d’arrêt de travail, l’entreprise est en danger et les conséquences sont multiples : baisse du chiffre d’affaires, dépenses pour remplacer cette personne (formation, recrutement, etc.) sans oublier une baisse de la confiance accordée par les partenaires (fournisseurs, banques, clients).
Il faut donc couvrir ces difficultés, sachant que les cotisations versées par l'entreprise à l'assurance sont fiscalement déductibles du bénéfice.
